Julie Payette a actuellement toujours accès à une pension à vie de 150 000$ par an, en plus d’une allocation annuelle de 206 040$ pour ses frais de représentation et pour l’embauche de personnel. L’ancienne gouverneure générale du Canada a été forcée de démissionner, après avoir instauré un climat de travail toxique.

Gisèle DesRoches salue d’ailleurs le travail réalisé par le sénateur Claude Carignan pour avoir initié cette pétition.

« Cette pétition vise à mettre de la pression sur Justin Trudeau pour qu’il répare le fiasco qu’il a lui-même créé en nommant Mme Payette et en la laissant en poste jusqu’à ce qu’elle démissionne. », souligne-t-elle.

Le député conservateur Luc Berthold a accepté de parrainer cette pétition. Les citoyens peuvent la retrouver sur le site de la Chambre des communes. M. Berthold exprime que c’est le premier ministre Justin Trudeau qui est responsable de ce fiasco. C’est pourquoi il est d’avis que le projet de loi S-232 du sénateur Carignan doit être adopté le plus rapidement possible.

« Quand on démissionne de son emploi, on n’a pas droit à l’assurance-emploi. Pourquoi Julie Payette a-t-elle droit elle à une pension à vie? J’invite toutes celles et ceux qui sont aussi choqués que nous par cette situation inacceptable, à signer et à partager cette pétition. », indique-t-il.

La pétition demande au gouvernement libéral de retirer les avantages qui sont offerts à tout gouverneur général qui n’a pas complété un cycle de cinq années consécutives dans ses fonctions, à l’exception de ceux qui démissionnent pour des raisons de santé.