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24 mai 2017

La Tournée Priorité PME de passage dans Rousseau

©>(Photo gracieuseté Bureau Nicolas Marceau)

ÉCONOMIE La Tournée Priorité PME, qui a comme mandat d'écouter les entrepreneurs afin d'identifier les irritants auxquels font face les propriétaires de PME, a fait halte à Saint-Roch-de-l'Achigan.

La semaine dernière, Nicolas Marceau, député de Rousseau, et Alain Therrien, député de Sanguinet souhaitaient connaître les inquiétudes, les irritants des créateurs de richesse du Québec. « Ici dans Lanaudière et dans Rousseau, nous devons favoriser l’entrepreneuriat et l’innovation.  C’est en parlant aux entrepreneurs ainsi qu’aux organismes qui les soutiennent que nous trouverons les pratiques les plus prometteuses », a souligné Alain Therrien à l'issue de cette rencontre.

« Favoriser l’accès aux subventions gouvernementales en allégeant les normes requises seraient un bon départ.  C’est en étant à l’écoute des entrepreneurs afin de connaître leurs irritants que nous pourrons mieux les aider dans l’avenir » -

Changer la vision

Pour les deux députés, les PME sont la colonne vertébrale de l'économie du Québec  et lancer une entreprise est un acte audacieux qui requiert un énorme effort.  Que cet effort soit compliqué et bloqué par un fardeau réglementaire excessif est une entrave à une saine politique économique.  « Notre intention est claire : nous cesserons de considérer les PME comme étant au service de la bureaucratie; au contraire, il faut faire en sorte que la bureaucratie soutienne les PME dans leurs efforts pour respecter les règles, tout en créant emplois et richesse », a soutenu Alain Therrien.

De son côté, Nicolas Marceau,  était particulièrement fier des échanges avec les entrepreneurs sur place.  Difficultés de développement, transport déficient, le manque de main d’œuvre qualifiée ont été des aspects discutés.  « Favoriser l’accès aux subventions gouvernementales en allégeant les normes requises seraient un bon départ.  C’est en étant à l’écoute des entrepreneurs afin de connaître leurs irritants que nous pourrons mieux les aider dans l’avenir », a conclu le député de Rousseau, Nicolas Marceau.

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