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23 janvier 2017

La Ligue nationale de ringuette débarque au Complexe JC Perreault

RINGUETTE. Il y avait de la rare visite au Complexe JC Perreault de Saint-Roch-de-l’Achigan le dimanche 22 janvier dernier. Deux équipes de la Ligue nationale de ringuette (LNR) se sont affrontées sur place soit l’équipe locale le Royal de Bourassa (Montréal) et les Turbos de Cambridge (Ontario).

©(Photo TC Media – Francis Trudeau)

Le Royal de Bourassa était en action au Complexe JC Perreault le dimanche 22 janvier.

©(Photo TC Media – Francis Trudeau)

Le Royal de Bourassa était en action au Complexe JC Perreault le dimanche 22 janvier.

©(Photo TC Media – Francis Trudeau)

Le Royal de Bourassa était en action au Complexe JC Perreault le dimanche 22 janvier.

©(Photo TC Media – Francis Trudeau)

Le Royal de Bourassa était en action au Complexe JC Perreault le dimanche 22 janvier.

©(Photo TC Media – Francis Trudeau)

Le Royal de Bourassa était en action au Complexe JC Perreault le dimanche 22 janvier.

©(Photo TC Media – Francis Trudeau)

Le Royal de Bourassa était en action au Complexe JC Perreault le dimanche 22 janvier.

©(Photo TC Media – Francis Trudeau)

Le Royal de Bourassa était en action au Complexe JC Perreault le dimanche 22 janvier.

©(Photo TC Media – Francis Trudeau)

Le Royal de Bourassa était en action au Complexe JC Perreault le dimanche 22 janvier.

©(Photo TC Media – Francis Trudeau)

Le Royal de Bourassa était en action au Complexe JC Perreault le dimanche 22 janvier.

La LNR constitue la meilleure ligue de ringuette au Canada. À l’instar de la Ligue nationale de hockey, les joueuses de chaque équipe ont été préalablement repêchées et peuvent être échangées.

« Toutes les joueuses de ringuette rêvent un jour de jouer dans la LNR. La ligue est constituée de l’élite des joueuses de ringuette au pays », explique d’entrée de jeu l’entraîneur adjoint du Royal de Bourassa, Alain Berthelet.

La ligue est composée de 11 équipes dans l’Est du Canada et de 5 équipes dans l’Ouest du pays. Outre le Royal de Bourassa, le Québec est représenté par quatre autres équipes, soit le Révolution de la Rive-Sud, l’Adrénaline du Lac Saint-Louis, le Mission de Montréal et le Fusion de Gatineau.

« Chaque année, le calendrier des équipes est déterminé par la ligue. Par exemple, l’année passée, nous avons passé une fin de semaine dans l’ouest du pays, alors que cette année, ce sont eux qui seront de passage dans l’est. Généralement, on joue contre des équipes à proximité, soit du Québec et de l’Ontario », explique M. Berthelet.

L’équipe était de passage au Complexe JC Perreault, pour faire la promotion de la ringuette dans la région de Lanaudière. D’ailleurs, plusieurs jeunes joueuses étaient invitées à assister au match, en plus d’avoir le privilège de rencontrer les athlètes d’élite avant la partie dans le vestiaire de l’équipe.

Pour la défenseure native de Terrebonne, Marie-Ève Marcoux, il est important de permettre à des jeunes de voir des parties de haut niveau, afin de les inciter à poursuivre leur développement. « Je me souviens, quand j’étais jeune, je voyais les grandes de la Ligue nationale de ringuette jouer et j’étais impressionnée. Je me mets à la place des jeunes qui nous regardent jouer et je crois que c’est pareil pour elles. C’est une source de motivation pour moi et c’est d’ailleurs ça qui m’a poussé à continuer à ce niveau », explique-t-elle.

La passion avant tout

Contrairement à la majorité des joueurs professionnels de différents sports, les joueuses de la LNR ne sont pas payées pour jouer. Elles doivent même payer leur saison et leurs déplacements. « Des voyages peuvent leur coûter très cher. Par exemple, l’année dernière dans l’Ouest, il a fallu qu’elles payent l’avion, l’hôtel et le temps de glace. Les athlètes jouent dans cette ligue parce qu’elles sont passionnées de ringuette », soutient l’entraîneur adjoint.

Les joueuses du Royal de Bourassa proviennent de milieux différents. La plus jeune joueuse à 19 ans alors que la plus âgée à 39 ans. Certaines sont encore aux études, alors que d’autres travaillent à temps plein et ont des enfants. « Elles connaissent différentes réalités. C’est plaisant de les voir créer des liens grâce à la ringuette. Chacune d’entre elles a commencé à jouer très jeune. Pour elles, cette ligue leur permet de continuer de jouer de la ringuette de haut niveau et de se mesurer aux meilleures athlètes canadiennes », explique l’entraîneuse adjointe Audrey Dalton.

Lors de leur partie contre les Turbos de Cambridge, le Royal de Bourassa a bien fait, remportant le match par la marque de 11 à 9. La prochaine partie de l’équipe aura lieu le samedi 28 janvier, encore une fois dans la région, cette fois-ci, au Forum de La Plaine. 

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